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On avait quitté David Schwimmer il y a quelques années, une vague larme à l’œil lors de la disparition de Friends. On le retrouve en réalisateur de Cours toujours. Et on a rien perdu au change. Cette comédie vitaminée, portée par le talent de Simon Pegg, décidément hilarant, nous montre un homme qui a plaqué femme et enfant (à naître) au pied de l’autel. Fuir ? C’est ce qu’il fait de mieux. 5 ans plus tard, Dennis décide d’affronter le problème en face. C’est à ce moment-là que l’on commence vraiment à rire. Car David Schwimmer épingle chaque petit défaut de son héros tout en portant un regard plein de tendresse et de sympathie. Des situations invraisemblables, des gags irrésistibles et surtout un portrait de famille amusant et décalé… Cours toujours Dennis, nous, on est prêt à te suivre.
Toutes les critiques de Cours Toujours Dennis
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Cours toujours Dennis est une petite comédie britannique dont le principal intérêt est l’incontournable Simon Pegg. Looser sur le point de se marier avec une sublime femme enceinte, Dennis se laisse gagner par la panique et fuit devant l’autel. 5 ans plus tard, père de famille célibataire et encore plus paumé, Dennis prend conscience de son erreur passé lorsqu’un nouveau prétendant débarque dans la vie de son ex. Classique ? Certes, mais pour reconquérir sa douce, Dennis la feignasse décide de courir le marathon. Le casting et l’humour grinçant sont donc les deux points forts de cette comédie sans prétention. Et même si pour un premier essai, David Schwimmer (le Ross de Friends) s’en sort plutôt bien, il laisse le scénario et ses acteurs faire tout le boulot. Après avoir conquis l’Angleterre ce petit film va devoir trouver son public en France. Défi impossible ? pas sûr… on a déjà succombé.
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Malgré bon nombre de situations architéléphonées (les rencontres piteuses avec le rival arrogant que l'on sait pourtant battu d'avance, les éternelles scènes d'attendrissement familial sur fond d'espaces verts), la course de Dennis a du souffle et du rythme : clope au bec et minishort en acrylique, il se lance dans un (vrai) marathon pour récupérer sa belle, offrant au comédien anglais Simon Pegg (remarqué dans la farce horrifique Shaun of the dead) l'occasion d'une jolie performance entre loser sympa et ado attardé.