C’est aujourd’hui que s’est conclue l’enquête menée depuis le 23 juillet dernier sur la mort d’Amy Winehouse après avoir collecté tous les résultats des analyses : la chanteuse serait morte d’un abus d’alcool après une longue période d’abstention.Après trois mois d’enquête, le voile est enfin levé sur les raisons de la mort d’Amy Winehouse. Retrouvée sans vie dans son appartement londonien par son garde du corps le 23 juillet dernier, les circonstances de la mort demeuraient mystérieuses depuis.Le 23 août, les résultats des analyses toxicologiques des prélèvements effectués sur le corps de la chanteuse avaient révélé – contre toute attente – qu’elle n’avait consommé aucune drogue lors de sa dernière soirée, seule une quantité d’alcool dans son sang avait été retrouvée.Mais aujourd’hui, l’enquête a conclu une "mort accidentelle" à la suite d’une très grande absorption d’alcool. L’interprète de Rehab avait, en effet, totalement arrêté de boire durant les trois semaines précédant sa mort, et a malheureusement rechuté lors d’une soirée où elle aurait beaucoup trop bu. Le médecin légiste Suzanne Greenway explique qu’Amy avait absorbé une dose d’alcool de 416 mg par décilitre de sang, soit environ cinq fois la limite déterminant l’état d’ébriété.La famille d’Amy Winehouse, soulagée d’avoir enfin les réponses à leurs questions, a fait parvenir un communiqué : "C’est un soulagement de savoir enfin ce qu’il est arrivé à Amy. Nous comprenons qu’il y avait de l’alcool dans son sang lorsqu’elle est décédée.[…] Amy se battait très fort pour venir à bout de son problème avec l’alcool et c’est douloureux pour nous de savoir qu’elle n’a pas réussi à gagner son combat à temps."Un mystère enfin élucidé, la famille et les fans d'Amy Winehouse peut désormais faire son deuil en paix.