Ron Howard parle de la performance d'Omar Sy dans la suite du Da Vinci Code.
Mise à jour du 12 novembre 2021 : Décembre 2015, Ron Howard sort Au coeur de l'océan, et prépare en parallèle Inferno, le troisième volet de la saga initiée par Da Vinci Code. Au cours d'une longue interview accordée à Première, le réalisateur évoquait alors sa première collaboration avec le Frenchy Omar Sy. Flashback, à l'occasion de la rediffusion d'Inferno en ce vendredi soir sur France 3.
Da Vinci Code/Anges & démons/Inferno : la trilogie décevante de Ron Howard et Tom HanksActualité du 10 décembre 2015 : On n'a pas pu s'en empêcher : en parlant avec Ron Howard de son film Au cœur de l'océan (l'interview complète et passionnante est à lire ici), on a forcément trouvé le moyen de lui parler d'Omar Sy. C'est terrible, le chauvinisme, mais que voulez-vous. Car Omar fait partie du casting d'Inferno, la troisième adaptation cinéma des romans de Dan Brown que vient de terminer Ron après Da Vinci Code et Anges et démons. Toujours avec Tom Hanks qui va suivre une enquête ésotérique, cette fois à Florence dans les traces de La Divine comédie de Dante. Tout ça pour dire que Ron est très, très content d'Omar ("génial" et "très bosseur"), et surtout de ses efforts pour parler anglais :
Omar fait des étincelles. Je ne te dirais pas s'il joue un méchant ou un gentil, c'est le mystère de son personnage et l'un des enjeux du film. Mais il est génial, très bosseur. Après Jurassic World, ma fille Bryce m'avait prévenu. Il bosse surtout beaucoup son accent anglais. Il progresse chaque semaine. C'est appréciable (rires)
Ca fait plaisir à entendre. Après deux essais réussis aux Etats-Unis (X-Men Days of Future Past et Jurassic World), Omar est censé jouer un certain Christoph Bruder dans Inferno, et on laissera donc aux lecteurs du roman le fait de savoir ce que ça signifie. Outre Tom et Omar, Ron s'est payé un casting sympa dans Inferno : Felicity Jones, Irrfan Khan, Sidse Babett Knudsen et Ben Foster sont de la partie.
Bande-annonce :
Omar Sy est dans le top 100 du Time (et c'est Bradley Cooper qui a écrit son texte)
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