Toutes les critiques de Django Unchained
Les critiques de la Presse
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Time Magazine
par Richard Corliss
“Django Unchained” est tout simplement pur. Du vrai Tarantino
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A nous Paris
par Fabien Menguy
Un duo de choc insolite dans l’Ouest de 1858, et ça tombe bien, parce que le choc et l’insolite c’est sans conteste le domaine de Quentin Tarantino ! S’inspirant de Django, un western de Sergio Corbucci datant de 1965, il reprend les codes du genre tout en restant fidèle à son style. Nous régalant avec son casting hallucinant, ses dialogues toujours savoureux et sa violence expressionniste, Tarantino soigne son spectateur et le fait jubiler en lui servant ce western à sa sauce… spaghetti, évidemment !
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Excessif / TF1 News
par La rédaction de Excessif / TF1 News
Si seulement tous les films partageaient cette même ambition, cette même générosité, cette même énergie vitale, cette même audace créatrice...
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Les Fiches du cinéma
par Cloé Rolland
DJ Tarantino remixe western spaghetti et traite des Noirs. Son morceau, d’une redoutable modernité élégiaque, envoie en enfer les esclavagistes américains et leurs descendants. Si Django donne la foi, Tarantino, lui, fait croire aux pouvoirs du cinéma.
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20 Minutes
par Caroline Vié
Django Unchained, c’est le genre de films qui vous rappelle pourquoi vous aimez le cinéma. Tour à tour drôle, fort, triste, violent et tendre, ce film bourré de références emmène le spectateur dans un monde cruel dont il souligne l’absurdité avec une intelligence diabolique.
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Guardian
par Peter Bradshaw
On a qu’une seule envie, c’est d’y retourner.
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L'Humanité
par La rédaction de L'Humanité
Quentin Tarantino revient avec un western baroque où il lamine l’esclavagisme d’antan avec son humour dévastateur. (...) On n’en finirait pas d’énumérer les trouvailles de ce film percutant, mêlant comme toujours chez Tarantino violence et humour à dose presque égale.
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Télé loisirs
par Gwénola Trouillard
Tarantino nous offre une histoire d'amour au temps de l'esclavage dans un western-spaghetti dément.
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Hollywood Reporter
par Todd Mc Carthy
Cette saga anecdotique et éloquente, structurée comme une odyssée pourrait être considérée comme indulgente mais Tarantino a ce don d’injecter la l’artillerie lourde, surprenante, provocatrice et démente qui nous comble.
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CinémaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Tarantino insuffle à son spectaculaire southern une rage qui est une source de grande exaltation.
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Libération
par Bruno Icher
Le film donc, qui démontre que Tarantino peut puiser indéfiniment dans sa malle à souvenirs et son répertoire à émotions puériles, il en sortira toujours quelque chose de moderne, un comble pour un type qui considère le baroque des séries B comme le sommet du classique.
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Paris Match
par Alain Spira
Ce Tarantino est à voir mort ou vif. Tous en salle...
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Télé 7 jours
par Julien Barcilon
Une fois de plus, l’art du génial Quentin ne ressemble qu’à du Tarantino : et c’est purement jubilatoire. Pour nous, et pour ses comédiens qu’il gâte comme personne. En retour, Jamie Foxx, Christoph Waltz, Leonardo DiCaprio et Samuel L. Jackson lui donnent le meilleur et s’illustrent dans un grand moment de cinéma. A l’Ouest, enfin du nouveau !
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Marianne
par Olivier Pourriol
Avec «Django Unchained», la fascination assumée du cinéaste pour la violence trouve enfin son terrain naturel : le western. Un long-métrage brillant, dans lequel il semble avoir pris conscience de ses limites et appris à en jouer.
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par Fabien Baumann
Qui aurait cru que le western, genre le plus codifié, permettrait à Tarantino de signer son film le plus engagé ? La violence qui a longtemps relevé chez lui de l'exercice de style superbement vain, est devenue arme de dénonciation. Ce qui n'enlève rien à la succulence des dialogues, au cabotinage éblouissante des comédiens et à la joie cinématographique intense que l'on éprouve 164 minutes durant.
Metro
par Jérome Vermelin
Django Unchained convoque le meilleur du cinéma de Tarantino. Des dialogues ciselés, des scènes d'action renversantes et surtout un scénario audacieux (...) Savoureux.
par Damien Aubel
Comédie ravageuse et hyperviolente, hommage énamouré au western-spaghetti dopé à la tchatche made in Tarantino, c'est un grand film du réalisateur - et un grand film américain tout court.
par James Rocchi
-« Django Unchained » n’est pas uniquement un film que, seul l’Amérique, est capable de mettre en scène, c’est surtout un film dont l’Amérique a vraiment besoin d’avoir dans son répertoire.
Nouvel Obs
par Nicolas Schaller
C’est, avec une tripotée de scènes déjà cultes et terriblement cathartiques (le raid du Ku Klux Klan, le long dîner chez Candie…), l’une des nombreuses « réjouissances » de ce brûlot pop-corn aux éclats de dynamite.
par Yann Lebecque
Tarantino signe l'un de ses hommages les plus maîtrisés, les plus réjouissants aussi. (...) Du très grand Tarantino.
Ouest France
par La rédaction de Ouest France
L'irrésistible Christoph Waltz, mais aussi Jamie Foxx, Samuel L. Jackson et Leonardo DiCaprio jouent dans ce western à la sauce Tarantino. Spectacle, humour, violence (interdit aux moins de 12 ans) dans un regard critique sur le passé des USA. Du grand Tarantino.
A voir à lire
par Frédéric Mignard
Tarantino, bricoleur de série B de génie, s’offre un western spaghetti à l’ancienne, dans l’Amérique sudiste et esclavagiste du milieu du 19e. Un grand moment de cinéma !
Le Parisien
par Alain Grasset
Un western-hommage, à ceux de Sergio Leone notamment, dans lequel on retrouve les fondamentaux de Tarantino, comme la violence traitée avec son lyrisme stylisé. Mais surtout, pour la première fois de sa carrière, Tarantino signe un grand film politique pour dénoncer ce que fut l’esclavage.
Pariscope
par Arno Gaillard
Tarantino est un magnifique artificier et ses mille et un feux d'artifices illuminent le grand Leonardo DiCaprio qui trouve enfin un magnifique rôle de vrai méchant dans lequel il excelle.
Elle
par Françoise Delbecq
Dans ce western spaghetti les scènes de tir se révèlent de sublimes tableaux d'hémoglobine où ralentis et fondus enchaînés forment un ballet d'une grande sensualité. L'humour grinçant de Tarantino n'épargne pas les membres du Ku Klux Klan en plein débat sur les trous de leurs cagoules qui les gênent... Bavard, le film est l'occasion de tirades ciselées entre DiCaprio et Christopher Waltz. Délirant, remarquablement mis en scène... Allez-y !
L'Express
par Eric Libiot
Une histoire politique d'aujourd'hui aux échos d'hier où Tarantino filme chaque scène comme si sa vie en dépendait.
Le JDD
par Stéphanie Belpêche
La maîtrise est totale. Tout y est : le ton, le style virtuose, la musique et l’interprétation étourdissante avec l’humour pince-sans-rire de Christoph Waltz, la rage silencieuse de Jamie Foxx, le sadisme placide de Leonardo DiCaprio, le délire de puissance de Samuel L. Jackson… Du très grand art.
Télérama
par Frédéric Strauss
Tarantino réussit à étonner encore avec ce western qui célèbre le cinéma de genre, et ses codes violents, tout en trouvant une dimension humaniste. Un film passionné et passionnant.
Tarantino se réserve un rôle de blanc benêt qui explose avec des bâtons de dynamite à la main. Belle lucidité : au lieu de dynamiter le genre, le western lui pète à la figure. Bien sûr, tout cela est inoffensif. Le sang, du ketchup. Même pas une bonne sauce bolognaise faite maison.
Time Out
par Alexandre Prouvèze
Guignolesque et sympathique, ‘Django Unchained’ est donc certainement à voir, mais comme on rend visite à un vieux pote qui radote. Ou à une ancienne liaison pour lui dire au revoir. Bah oui. Un amant sûr d’être aimé cesse toujours d’être aimable.
Les Inrocks
par Serge Kaganski
Tarantino invite l’histoire de l’esclavage dans le chromo du western. Tonique et drôle.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Au-delà des scènes paroxystiques, des pétarades, chevauchées et explosions superlatives, le film vaut surtout pour les numéros d’acteurs que les comédiens déjà cités, mais aussi Samuel L. Jackson dans le rôle d’un vieux serviteur renégat, accomplissent avec brio.
Comingsoon.net
par Joshu Starnes
Tarantino maîtrise le sujet de l’esclavage et le soulève bien dans ce film mais malheureusement, l’humour prend trop le dessus et c’est ce que vous gardez à l’esprit du film « Django Unchained ».
Time Out New York
par Joshua Rothkopf
Un film déjanté qui nous fait vibrer et qui se démarque indéniablement des autres longs métrages proposés cette année.
Ecran Large
par Melissa Blanco
Assagi, Quentin Tarantino réitère la formule d’Inglourious Basterds dans un western tendu et finalement plutôt humble. À défaut de marquer totalement les esprits, Django Unchained procure un plaisir immédiat, à commencer par son formidable trio d’acteurs.
Tarantino reste fidèle à lui-même avec ce western spaghetti ultra-sanglant et bourré d'humour noir. On est en terrain (trop?) connu, et le film aurait eu le mérite d'être amputé de quelques scènes inutiles, mais e spectacle est pétaradant à souhait et les acteurs au top.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Toujours aussi virtuose, le cinéaste n'arrive pourtant pas à dépasser ses modèles et son western spaghetti tourne à l'autoparodie.
Toutlecine.com
par Camille Esnault
Si les 2h44 ne sont peut-être pas justifiées, les climax s'accumulent et les retournements de situation aussi, instaurant une certaine lassitude, elles passent néanmoins d'une traite et au final ne se laissent pas regretter. Elles sont surtout le symbole du pouvoir de Tarantino, qui est peut-être le seul cinéaste à pouvoir proposer des films aussi longs et à être distribué partout dans le monde en faisant le plus souvent salle comble.
Entertainment Weekly
par Owen Gleiberman
Tarantino nous offre un spectacle revendicateur avec un savoir faire inoui afin de dénoncer la laideur d’une Amérique raciste.
Variety
par Peter Debruge
Un aperçu de l’autorité pendant la période d’avant-guerre de Sécession, un bel hommage au style western-spaghetti.
Le Canard Enchainé
par La rédaction du canard enchaîné
Un film boursouflé (2h44), qui s'étire en dialogues précieuse, dans lequel la moindre idée de mise en scène est soulignée trois fois. Plus grave, le cinéaste pousse d'excellents acteurs à un cabotinage outré.
Screen International
par Tim Grierson
Tarantino a sans aucun doute réalisé « Django » avec ses tripes mais le film n’est malheureusement pas assez aiguisé, ni provocateur pour faire parti de ses meilleurs.