San Andreas : les catastrophes (naturelles), une source d'inspiration inépuisable pour les blockbusters
Les astéroïdes
Hasard de calendrier, Deep Impact et Armageddon sont sortis à quelques mois d'intervalle au cinéma, en 1998. Si l'histoire est sensiblement la même (un astéroïde fonce droit sur la Terre, on envoie des gens essayer de le faire péter/de le dévier), les deux films ont une approche bien différente. <em>Deep Impact</em> joue sur l'intimité avec les personnages et leurs réactions face à la fin du monde annoncée, alors qu'<em>Armageddon</em> y va à fond côté action et effets spéciaux.Il est largement reconnu que ce dernier est un meilleur film, même si <em>Deep Impact</em> a quelques adorateurs invétérés.
San Andreas : les catastrophes (naturelles), une source d'inspiration inépuisable pour les blockbusters
Revenant nous hanter par vagues, le film catastrophe où mère nature nous botte les fesses a trouvé un nouvel avatar avec San Andreas, dans les salles françaises ce mercredi. <strong>Dwayne Johnson</strong> y incarne un pilote d'hélicoptère qui doit sauver sa fille, alors que la faille de San Andreas s'ouvre et provoque un séisme de magnitude 9 en Californie.>>> <strong>Qu'est-ce qui fait pleurer Dwayne Johnson ?</strong>Un tremblement de terre aux conséquences terribles, mais Hollywood nous a également appris à nous méfier des astéroïdes, des volcans, du réchauffement climatique, des tsunamis et même du calendrier maya.
Les volcans
Ah, les volcans, sources de toutes les peurs. Que ce soit dans le sympathique Pic de Dante (1997), Volcano (1997) ou plus récemment Pompéi (2014), ces monstres de la nature capables d'envoyer des cendre et de la lave à des kilomètres à la ronde représentent d'énormes dangers. Et à chaque fois qu'un volcan se met en éruption dans le monde réel, difficile de ne pas avoir en tête les images impressionnantes de ces blockbusters.
La totale
Tornades, tremblements de terre, coulées de lave... Avec 2012, <strong>Roland Emmerich</strong> a placé la barre plus haut que tout le monde en s'emparant de la soi-disant prophétie maya qui prévoyait la fin du monde.Le mètre-étalon en terme de destruction massive puisque chaque plan ou presque contient des images de bâtiments qui s'écroulent ou de vagues qui écrasent tout sur leur passage. Fun mais totalement décérébré. <em>San Andreas</em> semble viser le même résultat mais sera-t-il à la hauteur de son aîné ?
Le réchauffement climatique
Dans Le Jour d'après, le climat est tellement bouleversé par son réchauffement que des catastrophes se déroulent un peu partout dans le monde. La ville de new York est carrément transformée en banquise.L'illustration de ce qui pourrait arriver si nous continuons à polluer la planète comme nous le faisons depuis le début du XXe siècle.
Les tsunamis
Étouffant en salles, The Impossible de <strong>Juan Antonio Bayona</strong> a parfaitement su retranscrire toute la violence et la force d'un tsunami, tout en offrant un mélodrame particulièrement intense.L'horreur vécue par les victimes du tsunami de 2004, en Thaïlande, n'a jamais semblé aussi réelle. Sûrement même plus que les images de reportages avec des images captées après la vague.
Les tornades
Les tornades sont plus que dangereuses, les États-Unis - souvent lourdement frappés par ces catastrophes naturelles - en savent quelque chose. Et pourtant : dans les films qui ont immortalisé ces tourbillon de vents extrêmement violents, les protagonistes sont toujours de grands malades, prêts à risquer leurs vies pour les filmer et les analyser.Ne faites pas comme les personnages principaux de Twister et Black Storm : si une tornade arrive, fuyez.
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