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Cet épisode réel, et resté dans l'histoire de la marine comme un authentique exploit, est reconstitué avec force effets spéciaux dans ce filmcatastrophe d'une dramaturgie intense.
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C'est un film fait pour ceux qui ont l'impression qu'ils ne sont plus aujourd'hui le public-cible des longs-métrages. Si vous allez le voir, vous pourrez avoir envie d'emmener un imperméable.
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Chris Pine est le meilleur effet spécial du film, non pas parce qu'il joue un Webber si bêtement courageux, mais parce qu'il nous laisse voir à quel point il est effrayé.
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Les moments "entre la vie et la mort" permettent de maintenir le film à flots.
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Cela tient beaucoup également à une écriture qui, sans faire de merveilles, prend le temps de travailler suffisamment ses personnages pour qu’ils nous embarquent à bord : la meilleure surprise, peut-être, de ce beau divertissement marin à l’ancienne mode, face auquel il est difficile de bouder son plaisir.
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A terre ou en mer, The Finest Hours garde le cap, et nous offre du suspense et des sensations fortes. Un bon bol d'embruns que peuvent même s'offrir tous ceux qui n'ont pas le pied marin.
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L'héroïsme, en 1952, de l'équipage de ce petit bateau mérite un film spécial. Ce n'en est pas un.
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The Finest Hours se passe au début des années 50. Mais était-il vraiment nécessaire de tout faire pour qu'il ressemble à un film fait pendant l'époque d'Eisenhower ?
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Quelque part là-dedans, il y a un film plutôt honnête.
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Un récit remarquable mais raconté de manière très confuse. Des séquences impressionnantes de tempête et un très bon Chris Pine sauvent la mise.
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Le film catastrophe arrive à rester à flots, en grande partie grâce aux efforts divins de Casey Affleck.
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Craig Gillepsie (Million Dollar Arm) et ses scénaristes luttent dignement pour rester fidèles au récit des vrais événements de 1952... Mais l'histoire a souvent besoin de bien plus que des faits bruts pour faire un film satisfaisant.
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L'aventure palpitante est périodiquement interrompue par une piètre intrigue romantique secondaire.
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Curieusement, et par-delà la naïveté, ça marche. Bien rendue à l'écran par des images spectaculaires et réalistes, la tempête est l'occasion de montrer quelque chose de grand en l'homme, quand il fait front.
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Casey Affleck, 40 ans, est l’un des atouts majeurs de cette histoire d’hommes aux scènes aquatiques spectaculaires dans laquelle il fraternise avec Chris Pine, convaincant en garde-cote intrépide.
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Un divertissement classique mais de bon aloi, servi par des comédiens doués.
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Malgré cet exploit honorable, le film, un peu vintage, s’avère peu captivant. La faute à une mise en scène ultra classique qui n’évite pas les longueurs, à un récit convenu et édifiant.
The Finest Hours