Toutes les critiques de Un monstre à Paris

Les critiques de Première

  1. Première
    par Stéphane Canot

    Passé une certaine déception concernant les graphismes et les dialogues, qui restent assez enfantins, la magie opère dès que le duo musical Matthieu Chedid-Vanessa Paradis prend le dessus. Cette partie « comédie musicale » constitue la force de ce conte qui mêle la mythologie de King Kong et le charme rétro des Triplettes de Belleville. Deux personnages se démarquent : le monstre Francœur, génialement animé et muet (sauf lorsqu’il chante – une jolie pirouette), ainsi que le préfet, caricatural et jouissif. Les seuls regrets concernent le personnage de Lucille, en demi-teinte, et les sublimes concept arts du générique de fin, restés malheureusement au stade préparatoire.

  2. Première
    par Stéphane Canot

    Passé une certaine déception concernant les graphismes et les dialogues, qui restent assez enfantins, la magie opère dès que le duo musical Matthieu Chedid-Vanessa Paradis prend le dessus. Cette partie « comédie musicale » constitue la force de ce conte qui mêle la mythologie de King Kong et le charme rétro des Triplettes de Belleville. Deux personnages se démarquent : le monstre Francœur, génialement animé et muet (sauf lorsqu’il chante – une jolie pirouette), ainsi que le préfet, caricatural et jouissif. Les seuls regrets concernent le personnage de Lucille, en demi-teinte, et les sublimes concept arts du générique de fin, restés malheureusement au stade préparatoire.

Les critiques de la Presse

  1. Le Figaro
    par Emmanuele Frois

    Les chansons et la musique composées par -M- sont un pur moment de poésie. Ciselées sur un mode intemporel, elles apportent un supplément d'âme et de magie.

  2. Le Figaro
    par Emmanuele Frois

    Les chansons et la musique composées par -M- sont un pur moment de poésie. Ciselées sur un mode intemporel, elles apportent un supplément d'âme et de magie.

  3. Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    Né d’une accidentelle manipulation chimique, un monstre craintif et sensible terrorise la capitale, défie un préfet corrompu et séduit une chanteuse de cabaret. Un hommage féerique à Feuillade et Méliès, débordant de trouvailles visuelles, d’humour et de poésie. Le Paris de 1910, réinventé avec talent, offre un cadre idéal à cette course-poursuite musicale, portée par les compositions inspirées de Mathieu Chédid. Seule la séquence finale, moins grandiose qu’elle n’aurait pu (et dû) l’être, ternit légèrement l’enchantement éprouvé.

  4. Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    Né d’une accidentelle manipulation chimique, un monstre craintif et sensible terrorise la capitale, défie un préfet corrompu et séduit une chanteuse de cabaret. Un hommage féerique à Feuillade et Méliès, débordant de trouvailles visuelles, d’humour et de poésie. Le Paris de 1910, réinventé avec talent, offre un cadre idéal à cette course-poursuite musicale, portée par les compositions inspirées de Mathieu Chédid. Seule la séquence finale, moins grandiose qu’elle n’aurait pu (et dû) l’être, ternit légèrement l’enchantement éprouvé.

  5. A voir à lire
    par Jean-Patrick Géraud

    Pittoresque et sympathique, ce divertissement de qualité ménage un peu trop son potentiel.

  6. A voir à lire
    par Jean-Patrick Géraud

    Pittoresque et sympathique, ce divertissement de qualité ménage un peu trop son potentiel.

  7. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Il arrive (pendant la séquence d'ouverture, qui navigue avec dextérité entre rêve et réalité) qu'Un Monstre à Paris fasse sourire et ouvre l'appétit de merveilleux. Mais celui-ci est vite frustré, à moins que l'on se satisfasse d'entendre M. interprété par Vanessa Paradis.

  8. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Il arrive (pendant la séquence d'ouverture, qui navigue avec dextérité entre rêve et réalité) qu'Un Monstre à Paris fasse sourire et ouvre l'appétit de merveilleux. Mais celui-ci est vite frustré, à moins que l'on se satisfasse d'entendre M. interprété par Vanessa Paradis.