Toutes les critiques de Un peu, beaucoup, aveuglément

Les critiques de Première

  1. Première
    par Vanina Arrighi de Casanova

    Lui est un inventeur de génie misanthrope, elle, une pianiste coincée qui ne demande qu’à s’épanouir. Un mur les sépare. Ils vont se battre et s’aimer sans jamais se voir. Le premier film de Clovis Cornillac est une comédie romantique où l’acteur fait le choix de mettre à l’épreuve l’idée que l’amour est aveugle, littéralement. Le principe de départ est brillant et l’intention de Cornillac, qui a visiblement envie de clamer son romantisme, est réellement touchante. On se prend à rêver de ce que Lubitsch aurait fait d’un tel dispositif, mais on ne peut s’empêcher d’aimer ce joli film mu par des intentions absolument pures.

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    Le film raconte avec un charme fou dénué de toute mièvrerie, notre époque où, malgré l'explosion des moyens de communication, la solitude n'a jamais semblé aussi difficile à vivre.

  2. Le Figaro
    par Nathalie Simon

    Une comédie romantique pétillante et sensible.

  3. Chronic'art
    par Marilyne Letertre

    Un premier film drôle, sincère et touchant. Les codes du genre sont respectés, l’humour fait mouche sans être lourd et les tourtereaux séduisent. Une comédie réussie.

  4. Direct Matin
    par La rédaction de Direct Matin

    Cornillac maîtrise son sujet. Les dialogues de cette comédie romantique sont enlevés, l’humour pétillant et le jeu des comédiens délicieux.

  5. Ecran Large
    par Christophe Foltzer

    Inattendu et rafraîchissant, "Un peu, beaucoup, aveuglément" apporte la bulle d'air indispensable à un genre moribond. Si le film est loin d'être parfait et s'empêtre parfois dans quelques pièges, la première réalisation de Clovis Cornillac surprend autant qu'elle charme et c'est bien là son seul objectif, et sa plus grande qualité.

  6. Elle
    par Khadija Moussou

    Au final, "Un peu, beaucoup, aveuglément" n’est ni lourd, ni vulgaire, ni déjà-vu et encore moins cynique. En bref, on vous le conseille !

  7. A nous Paris
    par La rédaction d' A nous Paris

    Une relation à l’aveugle, aussi originale que ce premier film réalisé par Clovis Cornillac en personne, qui détourne les codes du genre et fait de "Un peu, beaucoup, aveuglément" une comédie romantique… à voir.

  8. Cinenews.be
    par Jérémy Troosters

    Une comédie romantique légère et novatrice.(...) Fous rires garantis !

  9. TLC - Toute la Culture
    par Gilles Herail

    La comédie romantique est un genre qui n’aspire pas au chef d’oeuvre et on pourra trouver quelques faiblesses de rythme ici et là. Mais "Un peu beaucoup aveuglément" est clairement une des meilleures surprises du style depuis plusieurs mois.

  10. Télérama
    par Anne Dessuant

    Situation rocambolesque, qu'on ­accepte, tant Cornillac s'approprie discrètement les codes de la comédie romantique. Dommage qu'il oublie de temps en temps un ingrédient principal, le tempo...

  11. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    Au début, on est inquiet. Au milieu, on est chipé. A la fin, on est séduit.

  12. GQ
    par Thibaut Michalet

    Si "Un peu beaucoup, aveuglément" ne révolutionne pas la comédie romantique, le film confirme que Cornillac est aussi très bon dans des rôles plus délicats.

  13. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Avec toute la légèreté du genre qui a de gros inconvénients (l’évanescence, ces films s’oublient aussi vite que leurs titres farfelus), la première réalisation de Cornillac est agréable, pertinente dans ses choix de mise en scène (toujours pop et enlevée), mais demeure toujours en-deçà de nos attentes par rapport à ce que cet étonnant acteur est capable de livrer dans des registres plus tourmentés.

  14. Le Monde
    par Isabelle Regnier

    Cette tétanie face aux choses de la chair renvoie à une forme de paralysie qui touche aussi bien la direction d’acteurs, qu’une mise en scène étique qui mise tout sur le split screen naturel opéré par la cloison. De ce carcan rigide, quelques saillies comiques parviennent toutefois à surgir, à mettre sur le compte de ce qui ressemble à une vraie sincérité.

  15. Clapmag.com
    par Laetitia Legrix

    Si la première réalisation de Cornillac reste agréable et pertinente dans ses choix de mise en scène, "Un Peu, Beaucoup, Aveuglément" ne parvient pas à débarrasser la comédie romantique des inconvénients intrinsèques du genre: du chewing gum, la romcom en a décidément le goût, saturé de sucre, le collant et l’évanescence puisqu’on s’en lasse après l’avoir mâché….

  16. Le JDD
    par Barbara Théate

    Le pitch de cette histoire écrite, jouée et réalisée par Clovis Cornillac, est plutôt amusant, mais le ton gnangnan et désuet vient gâcher la mélodie de cette comédie romantique décalée.(...) Alors pour nous, c’est seulement "un peu", et en aucun cas "aveuglément"

  17. Rolling Stone
    par La rédaction de Rolling Stone

    S’il s’illustre toujours à la perfection dans son rôle de comédien en jouant ici un inventeur à tendance sociopathe aux côtés de Mélanie Bernier qu’il côtoie assez intimement en tant que voisins de cloison, on ne peut enlever à cette comédie le mérite d’être agréable et reposante.