Toutes les critiques de Poesía sin fin

Les critiques de Première

  1. Première
    par Gérard Delorme

    Alejandro Jodorowsky signe un nouvel hommage vibrant à sa jeunesse.
    Trois ans après son stupéfiant retour La danza de la realidad où Jodorowsky faisait preuve à 80 ans d'une énergie et d'une inventivité à rendre jaloux beaucoup de  jeunes cinéastes, le voilà qui reprend son récit autobiographique là où il l'avait laissé. Alejandro adulte est désormais incarné par Adan, le propre fils de Jodo et auteur de la musique et le récit initiatique qui suit perd en symbolisme ce qu'il gagne en sensibilité.
    Gérard Delorme