Toutes les critiques de Dead Man Talking

Les critiques de Première

  1. Première
    par Bernard Achour

    Le saviez-vous : tant qu’un condamné à mort continue de parler, on ne peut pas l’exécuter. Un pitch d’enfer mais un traitement balourd et schizo.

Les critiques de la Presse

  1. Gala
    par Carlos Gomez

    Un premier film métaphorique et ambitieux, d'une exceptionnelle beauté formelle.

  2. Télé Star
    par Paul Guermonprez

    Une fable singulière qui glisse de la comédie noire décalée vers quelques chose de plus profond et tragique.

  3. Toutlecine.com
    par Anne-Laure Thirion

    Premier long-métrage de Patrick Ridremont en tant que réalisateur, il y tient également le rôle principal dans une oeuvre original qui séduit par sa noirceur parsemée de tâches humoristiques, le film se présente sous certains aspects comme un miroir de l'être humain où l'homme tente de masquer ce qui le constitue en tant qu'individu à part entière grâce au rire, à la méchanceté ou à la haine

  4. L'Express
    par Christophe Carrière

    Voilà une petite perle venue de Belgique et, au passage, une pertinente leçon de cinéma où l'auteur adapte son histoire à son budget - et non l'inverse. Les idées abondent, les comédiens excellent, le cynisme déborde et les surprises ne manquent pas. C'est épatant.

  5. Critikat.com
    par Ursula Michel

    Trop éclaté scénaristiquement (les jonctions entre la prison et l’extérieur ne forment pas un récit cohérent et fluide), Dead Man Talking perd en unité dramatique ce qu’il gagne grâce à son ton décalé et absurde. Match nul donc pour cette revisitation du mythe de Shéhérazade, trop sage pour aspirer au statut culte d’autres auteurs belges et trop décousu pour être un grand film.

  6. Le Parisien
    par Alain Grasset

    Ce huis clos carcéral bien ficelé, sombre, angoissant, teinté d’humour par moments, nous tient en haleine jusqu’à la fin. Patrick Ridremont se révèle remarquable dans la peau du condamné à mort et François Berléand épatant en directeur de la prison.

  7. Le JDD
    par Jean-Pierre Lacomme

    Patrick Ridremont s’en tire avec les honneurs sur un sujet plein de chausse-trapes. Jusqu’à la dernière minute de son existence, fût-elle minable à ses yeux, il montre comment un homme retrouve sa dignité. Féroce, drôle, émouvant tant qu’il reste en prison, le film perd un peu de sa force dès qu’il franchit les murs de l’enceinte carcérale pour devenir moralisateur.

  8. La Croix
    par Arnaud Schwartz

    Partant d’une idée forte et dérangeante, cette fiction belge de Patrick Ridremont ne parvient pas à s’extraire d’un cinéma de genre à l’atmosphère poisseuse.

  9. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Dans un pays imaginaire, un condamné à mort (Patrick Ridremont) raconte chaque nuit sa vie pour échapper à l'exécution. Une variation déconcertante sur le thème de Shéhérazade, plus bizarre que convaincante.

  10. Télérama
    par Nicolas Didier

    Dénonciation de la peine de mort, ce premier long métrage du Belge Patrick Ridremont séduit par son ambiance de cauchemar et son humour noir. Moins par son versant mélo.

  11. Les Fiches du cinéma
    par La redaction de Les Fiches du Cinema

    Un condamné à mort raconte sa vie nuit après nuit pour continuer à vivre. Fort de son héritage théâtre, Patrick Ridremont réinvente à sa sauce le mythe de Shéhérazade. Résultat, un premier film qui prend la forme d'une tragi-comédie honorable mais inégale.

  12. A voir à lire
    par Virgile Dumez

    Décalé durant sa première demi-heure, ce premier film à l’esthétique très travaillée se fourvoie dans une caricature grotesque de la vie politique et un symbolisme ringard. Dommage…

  13. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    Une fable existentialiste sous perfusion frères Coen (...) Malgré une seconde partie qui s'essouffle, voilà un surprenant film d'art et décès.

  14. Nouvel Obs
    par Sophie Grassin

    Dans le viseur du réalisateur belge Patrick Ridremont, le cynisme ambiant : talk-shows en quête d’Audimat, politicien crétin, chargée de com véreuse. Mais le programme est un peu court et la réalisation pèse des tonnes.

  15. Le Figaro
    par Jean-Luc Wachthausen

    Entre Ubu et Kafka, l'ambiance tire-larmes du film et quelques scènes assez glauques qui tournent à vide n'incite guère à apprécier le film, tant les effets sont appuyés et les acteurs mal dirigés.

  16. Les Inrocks
    par Romain Blondeau

    Une relecture SF des Mille et Une Nuits avec François Berléand. Gênant.

  17. Time Out
    par Alexandre Prouvèze

    Voilà un cas assez typique de film qui, fort d’une bonne idée de départ, ne parvient pas à en décoller.

  18. Version Femina
    par Anne Michelet

    On reconnaît volontiers à cette comédie noire belge un ton singulier, mais la mise en scène manque de rythme et le scénario brouillon ne parvient pas à retenir notre intérêt.