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Buddy movie qui ne lésine pas sur les cascades et les scènes de tir, "Cops : les forces du désordre" repose sur un scénario efficace au service d’une ode à l’amitié.
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Un buddy-movie inégal, un mix entre "21 Jump Street" et l’héroïsme pompier de "Bad Boys", relevé ici et là de quelques morceaux de bravoure parodiques. L' intérêt du film tient surtout à son casting idéal, réunissant deux des plus précieuses nouvelles têtes de l’humour US.
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De l'immaturité à la responsabilité, l'évolution standard des personnages suit un programme prévisible. Jamais cette pochade paresseuse ne prend le risque de l'irrévérence.
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Des gags qui s'enchaînent sans véritable surprise, des acteurs qui essaient tant bien que mal d'être drôles et une réalisation digne d'une série policière télévisée : c'est une toute petite série B que ces "Cops".
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S’ils se sont beaucoup amusés dans les fringues de poulets, issus d’un bucket de fast food, les deux acteurs n’ont par la carapace comique pour nous faire oublier l’absence de scénario, où le prétexte policier pour insinuer un minimum de rebondissements dans un bain de grossièretés, est à l’image de l’ensemble, pathétique.
Cops, les Forces du Désordre