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Le départ d’Alessandra Sublet de C à vous a fait beaucoup de bruit. En plein mércato, la présentatrice a même subi de nombreuses critiques. Dans une interview à Paris Match, elle revient sur les déclarations de Thierry Adrisson.

Alessandra Sublet n’a pas sa langue dans sa poche et a l'habitude de répondre publiquement aux attaques. Vivement critiquée par Thierry Adrisson, mais aussi par des dirigeants de Canal +, la jeune présentatrice répond à ses détracteurs.Dans une longue interview accordée à Paris Match, Alesandra Sublet présente sa nouvelle émission, intitulée Fais-moi une place. Mais ce n’est pas tout. Alors que Thierry Ardisson s’est récemment moqué de la présentatrice dans le News Show, expliquant qu’elle "rigolait pour remplir le vide", celle-ci ne compte pas se laisser faire.L’animatrice explique à nos confrères qu’elle était abasourdie : "Quand j'ai entendu Thierry Ardisson dire : 'Alesandra Sublet sur la chaîne de la connaissance et du savoir, c'est un comble', j'ai halluciné. Quel intérêt pour lui de se prendre la tête avec la merdeuse que je suis ?". Et d’ajouter : "Thierry a toujours eu besoin de s'inventer des ennemis pour exister. Pendant longtemps, c'était Fogiel. Aujourd'hui, c'est moi. Mais je ne veux pas rentrer dans son jeu. Je préfère me concentrer sur mon travail. Thierry gagnerait à faire la même chose : ces temps-ci, il fait plus parler de lui par ce genre de propos que par ses émissions... Avant c'était l'inverse".Mais Alessandra ne s'arrête pas là. Alors que le JDD avait affirmé que Canal + a jugé Alessandra Sublet comme "pas assez cultivée" pour animer le Grand Journal, l’animatrice tient à mettre les points sur les i. "C à vous marchait du tonnerre et j’étais très bien payée [12 000 euros par mois]. Lâcher la présentation d’une émission qui cartonne, c’est un risque. Tout le monde ne le prend pas, mais tout le monde peut se demander : 'Pourquoi pas moi ?' Cette liberté a suscité des jalousies. Certains se sont amusés à faire du 'Alessandra bashing'. Tout à coup, je devenais trop nature, pas assez sophistiquée. Ces critiques m’ont blessée. Je m’y attendais d’autant moins que ceux qui me prenaient pour cible étaient les mêmes qui avaient fait du forcing pour me débaucher", révèle-t-elle."Les dirigeants de Canal + n’ont eu de cesse de me solliciter. Si vous saviez les SMS que j’ai reçus ! dévoile Alessandra Sublet au magazine. Alors, laisser entendre que je n’ai pas été choisie à cause de mon manque de culture… c’est vraiment mesquin".La jeune femme, qui a récemment expliqué que lors de son passage sur M6 elle devenait une femme-objet, a également souhaité revenir sur cet épisode. "Mes mots ont été déformés dans une interview, puis repris et amplifiés dans les réseaux sociaux. Le malentendu a grandi. J’ai fini par prendre mon téléphone ; nous nous sommes expliqués tous les deux (ndlr, avec Nicolas de Tavernost, le patron de M6). Mais cela m’a minée. J’ai toujours eu de bons rapports avec Nicolas de Tavernost".Outre ces accrochages professionnels, Alessandra Sublet garde le sourire, et profite entièrement de sa petite fille de 14 mois... qui pourrait bien avoir un petit frère ou une petite soeur rapidement. "Clément (son mari, ndlr) et moi avons très envie d'un second bébé. Pourquoi attendre ? Nous y travaillons activement. Le plus tôt sera le mieux" confie l'animatrice.