Parlement saison 4
France tv

Xavier Lacaille est de retour à Bruxelles plus ambitieux que jamais, alors que la comédie politique de France.tv va prendre fin.

Petit phénomène européen avec 10 millions de vidéos vues aux quatre coins de l'Europe pour ses trois précédentes saisons, Parlement prépare son retour. La quatrième saison, qui sera aussi la dernière, sera lancée le 7 mai prochain en intégralité sur france.tv (juste avant la Journée de l'Europe du 9 mai). La bande-annonce promet un combat de fou pour tenter de sauver l'Europe. Rien que ça.

Parlement saison 4
France tv

"Dans cette quatrième saison, notre brave Samy se retrouve catapulté dans un Conseil européen. Le Conseil européen, c’est le mont Olympe, la cime du pouvoir continental. Les chefs d'État s'y retrouvent pour négocier pied à pied des « conclusions », ces petites phrases qui, mises bout à bout, vont tracer le chemin que prendra un demi-milliard d’Européens" détaille le synopsis. "Mais un Conseil européen, c’est surtout un huis clos de 36 heures qui ressemble un peu à un jeu télévisé japonais où des candidats doivent surmonter des épreuves en équipe. Ça se joue à 27 équipes de 10, et sur 4 zones de jeu. Et, au milieu, Samy est là pour mener une ultime bataille, pour Valentine, pour lui-même, pour l’Europe. Enfin, s’il chope le bon badge..."

Au casting, on retrouvera Xavier Lacaille face à Georgia Scalliet, Martin Brambach, Philippe Duquesne et Liz Kingsman.



Le créateur, Noé Debré, explique que cette saison 4 "sera l’occasion de poursuivre la trajectoire de Samy. Depuis qu’il a quitté le Parlement à la fin de la saison 3, il a quelque peu perdu ses illusions. Mais au milieu de la bagarre d’un Conseil européen où les masques tombent et où les égoïsmes nationaux priment, il va retrouver la flamme européenne. Et nous, on va retrouver le Samy qu’on aime. Il va retrousser ses manches et faire bouger le continent. Eh ouais. A lui tout seul. Enfin, un petit peu quoi. Mais quand même. On a rencontré Samy « à même le sol », au plus bas de l’échelle, et on l’a vu se hisser vers les lieux de pouvoir, au Parlement puis à la Commission. Le Conseil, c’est l’Olympe. Eh oui, on avait gardé le meilleur pour la fin !"