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Flight, le dernier vrai grand film de Denzel Washington

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Flight, le dernier vrai grand film de Denzel Washington

Flight, le dernier vrai grand film de Denzel Washington

Flight, le dernier vrai grand film de Denzel Washington

Flight, le dernier vrai grand film de Denzel Washington

Un film de rédemption qui brise certains codes diffusé à 20h45 sur Ciné + Émotion.60. C’est le nombre de bougies qu’a soufflé récemment Denzel Washington. Un cap qui ne l'empêche pas d'être toujours aussi majestueux dans le Flight de Robert Zemeckis. Un film dans lequel le comédien, bien loin de ses rôles badass, joue un personnage offrant deux facettes totalement différentes. Un visage de pilote - héros qui réussit à sauver la vie de ses passagers en faisant un atterrissage d’urgence après un accident en plein ciel, et une facette plus sombre. Un homme marqué par des années d’alcoolisme et de consommation de drogues dont les pires secrets sont dévoilés au grand jour.Flight est pour Christophe Narbonne, l’auteur de notre critique, "un grand film de rédemption souvent déchirant, mais aussi le reflet d’une Amérique intransigeante, procédurière et bigote, dont Zemeckis s’emploie à démontrer l’hypocrisie avec un sens de la provocation réjouissant". Un "doigt d’honneur à la face des censeurs puritains" grâce notamment à une scène d’ouverture qui peut choquer puisqu’elle montre une scène frontale de nu.Bien plus qu’une petite rupture des codes puritains hollywoodiens, ce film a permis à Denzel Washington de vraiment briller sur grand écran. Oscarisé en 1990 pour son second rôle dans Glory (un personnage qui lui a également valu un Golden Globe), Ours d’argent en 1993 pour Malcom X ou encore Oscar du meilleur acteur en 2002 pour Training Day (sa dernière grande récompense cinématographique), l’acteur américain a trouvé là un rôle d’autodestruction et d’orgueil à la hauteur de son talent.Un rôle bien plus marquant que ses deux dernières apparitions sur le grand écran dans le très banal et oubliable 2 Guns de Baltasar Kormakur et dans Equalizer, un film marqué, selon Christophe Narbonne, par "un éparpillement du scénario (qui passe du mélo au film d’exploitation en un coup de tournevis !) et des tics de mise en scène gratuits." Espérons qu’avec Les Sept Mercenaires d’Antoine Fuqua, il remonte un peu la barre.