Toutes les critiques de Une merveilleuse histoire du temps

Les critiques de Première

  1. Première
    par Damien Leblanc

    Adapté des mémoires de l’ex-épouse de Stephen Hawking, Une merveilleuse histoire du temps retrace sous un angle sentimental l’existence d’un des plus célèbres et éminents scientifiques vivants. Si le génie du spécialiste des trous noirs est rendu avec un rythme plein d’entrain, sa lutte contre la paralysie est parfois édulcorée au bénéfice d’une tonalité humoristique et d’un éloge de la combativité du couple. Mais le point de vue sur les événements se fait plus troublant à mesure que le film entre dans la zone du mélodrame : explorant la question d’une possible infidélité, qui dévoile les fragilités de la vie familiale, cet honorable biopic confie alors son destin à la subtilité de ses acteurs et à la stupéfiante performance d’Eddie Redmayne, qui compose un Stephen Hawking facétieux et électrisant.

Les critiques de la Presse

  1. Rolling Stone
    par Peter Travers

    Pour jouer Stephen Hawking, un génie touché par une maladie neurologique dégénérative, un acteur doit faire des miracles. Eddie Redmayne y arrive avec une performance marquante.

  2. Excessif / TF1 News
    par Olivier Corriez

    Sans jamais surjouer et tout en délicatesse, Eddie Redmayne est impressionnant dans le rôle principal (...) Un vrai beau film, une belle leçon de vie.

  3. Entertainment Weekly
    par Chris Nashawaty

    Redmayne est à couper le souffle. Dans un rôle moins tape-à-l'œil, Jones est bouleversante en femme qui consacre sa vie à aimer Hawking et à prendre soin de lui.

  4. Los Angeles Times
    par Kenneth Turan

    Redmayne et Jones sont parfaits en Hawking et Jane, sa femme, affrontant les aléas de 25 ans de vie commune.

  5. L'Express
    par Sandra Benedetti

    Un biopic propre sur lui et conventionnel réalisé par James Marsh, avec un Redmayne parfait en génie facétieux.

  6. Wall Street journal
    par Joe Morgenstern

    D'un côté, Redmayne a une présence incroyable. De l'autre, Jones complète parfaitement son partenaire grâce à une fraîcheur agréable et une douce intelligence.

  7. Le JDD
    par Stéphanie Belpêche

    Si le biopic reste classique côté mise en scène et narration, impossible de ne pas verser quelques larmes devant cette histoire d'amour qui parvient à éviter les clichés et le pathos grâce à des personnages dignes, subtils et touchants.

  8. Variety
    par Justin Chang

    Une histoire d'amour, émouvante et douce-amère, avec une dose d'humour de qualité.

  9. USA Today
    par Claudia Puig

    Marsh a choisi un personnage compliqué et en a révélé plusieurs facettes. Ce film est un biopic intéressant et souvent touchant.

  10. Elle
    par Khadija Moussou

    Derrière le physicien qui ne se déplace plus qu’en fauteuil roulant et s’exprime via un synthétiseur vocal, on découvre le séducteur, le père de famille, amoureux de la vie. Sans jamais tomber dans le pathos ou l’admiration béate.

  11. New York Observer
    par Rex Reed

    Eddie Remayne, le génial acteur qui incarne ce mathématicien prodige, offre la performance la plus électrisante de l'année.

  12. NewYorker
    par David Denby

    Redmayne utilise ses sourcils, sa bouche, quelques muscles du visage et les doigts d'une seule main pour montrer, non seulement l'intelligence de Hawking et son humour, mais également la vanité d'un homme pleinement conscient de son impact sur le monde.

  13. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    L'interprétation d'Eddie Redmayne crève l'écran dans ce biopic qui ne verse jamais dans le mélo (...) L'art de glisser de l'humour et de l'amour dans les situations les plus tragiques.

  14. CinémaTeaser
    par Aurélien Allin

    Avec le destin de Stephen Hawking, le réalisateur James Marsh dispose d’une histoire propice au bon mélo dégoulinant, prompt à faire chavirer les votants aux Oscars. On pourra même stigmatiser le classicisme – voire l’académisme– de la structure du scénario. Pourtant, hormis ce balisement, le film s’avère une réussite quasi totale,

  15. Cinenews.be
    par Sophie Rizzi

    On regrettera ce portrait un peu trop romancé du physicien quelque peu caractériel mais il faut reconnaître que l’exercice était difficile. En effet qui oserait réellement s’attaquer à un handicapé aussi éminent soit-il et qui plus est fait encore partie de ce monde. Le jeu d’acteur d’Eddie Redmayne est par contre phénoménal.

  16. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    C'est avec une maestria remarquable qu'Eddie Redmayne s'est glissé dans la peau de Stephen Hawking, astrophysicien torturé par la maladie de Charcot.

  17. A nous Paris
    par La rédaction d' A nous Paris

    Le film raconte avant tout une histoire d’amour, une envoûtante romance avec cette première épouse qui lui a donné la force de surmonter son mal supposé incurable et de poursuivre son œuvre. Il en résulte un biopic réellement bouleversant, et un hommage passionnant à ce génie moderne.

  18. Metro
    par Marilyne Letertre

    Un mélodrame académique plus axé sur la romance que sur les recherches du génie. Le réalisateur ne fait d'ailleurs pas toujours dans la dentelle mais son duo d'acteurs sauve la mise.

  19. Paris Match
    par Yannick Vely

    Le cinéaste anglais filme chaque scène sans réelle idée de mise en scène. Quant aux découvertes de Stephen Hawking, il faut mieux revoir "Interstellar", tant "Une merveilleuse histoire de temps" ne parvient pas à nous expliquer concrètement de quoi il s'agit....

  20. Culture box by france Tv
    par Jacky Bornet

    Classique, mais rigoureux, "Une merveilleuse histoire du temps" est identifiable à un grand mélo, mais visualise une grande histoire. L’interprétation très spectaculaire d’Eddie Redmayne se situe au niveau de celle de Daniel Day Lewis dans "My Left foot" de Jim Sheridan.

  21. New York Times
    par A.O. Scott

    Comme beaucoup de biopics, ce film oublie en cours de route les raisons expliquant la célébrité de son sujet.

  22. Critikat.com
    par Benoît Smith

    Ce n’est pas le nouveau film de James Marsh qui fera mentir le cliché du produit pré-calculé pour ramasser Golden Globes, Oscars et autres BAFTA : celui de la tranche d’histoire vraie à la démarche lourdement télévisuelle déguisée en cinéma par quelques artifices, se gardant de quitter les ornières du consensus, avec en option la grosse performance d’acteur dans un rôle aux difficultés bien ostensibles.

  23. Télérama
    par Frédéric Strauss

    Dans l'élan d'admiration qu'il veut soulever, le film vise juste : ce qui permet à Hawking de garder du courage, c'est (aussi) son intelligence. Et c'est elle qui est célébrée, jusque dans le jeu de l'acteur Eddie Redmayne, qui sait, avec légèreté, incarner un génie pétillant. Le rôle est évidemment très payant. C'est la règle du biopic.

  24. Le Parisien
    par Hubert Lizé

    Un "rôle à Oscar", comme on dit à Hollywood. Une performance physique éprouvante pour Redmayne.

  25. Le Figaro
    par Nathalie Simon

    Peut-être le réalisateur a-t-il voulu faire un film pour le jeune public, démontrer que l'amour peut déplacer des montagnes. Aucun risque de se triturer les méninges ici. Le point positif de ce long-métrage, c'est la distribution. Chapeau à Eddie Redmayne qui accomplit un tour de force dans la peau du génie "bizarre, intelligent",

  26. Gala
    par Jean-Christian Hay

    Ce biopic raconte autant le combat de l’au­teur d’Une Brève histoire du temps qu’il dresse un magnifique portrait de femme, celui de son épouse dévouée inter­pré­tée par la talen­tueuse Feli­city Jones.

  27. A voir à lire
    par Adrien Lozachmeur

    A défaut d’être un grand film scientifique sur le temps, "Une merveilleuse histoire du temps" distrait en honnête mélodrame.

  28. Le Monde
    par La redaction du Monde

    Un film excessivement hagiographique mais formidablement interprété par Eddie Redmayne dans le rôle du scientifique et Felicity Jones dans celui de son épouse, Jane.

  29. Libération
    par Clément Ghys

    Globalement, l’esprit d’imitation permanente est, sinon lassant, franchement pénible.(...) Dans ce film pétri de bons sentiments et d’un manque fâcheux de réflexions sur la science, la partie finale, pur mélo, touche le plus.

  30. The Wrap
    par Alonso Duralde

    Les innovations de Hawking et son refus de s'inscrire dans un mode de pensée dépassé sont à peine soulignés par ce biopic conventionnel.

  31. Les Inrocks
    par Vincent Ostria

    Aussi gluant que décoratif, le film est une belle tranche de pudding, à peine pimentée par l’intrusion d’un pasteur jovial dans la famille Hawking, qui finira par détourner l’épouse du scientifique du lit conjugal. C’est bien le seul grumeau à signaler dans cette lavasse ordinaire et désespérément homogène.